Jeudi 10 Dans L’Après Midi

Les jours suivants, je passais les consignes à mon successeur et le jeudi matin j’envoyais mon chauffeur avec une enveloppe avec un mot pour Véro, sur lequel j’avais écrit : « Je viens voisrla jupe portefeuille, vers 17,00 H» avec un petit carré OUI et un autre NON. Quand le chauffeur revint il me tendit l’enveloppe que j’ouvris avec intérêt. Le OUI et le NON avaient été gribouillés rageusement, je dirais comme de colère, puis en dessous à la main : Oui, je t’attends, oui »
Vers 16,30 H, je lâchais mon successeur en lui disant : « A vous de faire la débauche et le planning de demain, … à demain à l’embauche, … ». Donc vers 17,00 H, j’étais au magasin, la secrétaire me tendant un dossier me dit que j’étais attendu. Le dossier était le justificatif de ma présence pour une soi-disant réunion avec la patronne. Entré dans le bureau, Véro se leva et vint vers moi, certainement pour me faire apprécier sa tenue. Effectivement elle avait sa jupe plissée écossaise, que je connaissais et pour le haut un corsage rose pale, largement ouvert, couvert d’un petit boléro, également écossais rouge ou rose. Elle fit un tour sur elle-même : « Est-ce que ma tenue, plais à mon amant adoré, … ». Je la pris dans les bras et s’ensuivit un baiser passionné, en même temps qu’un corps à corps tout aussi passionné. Enfin, elle se recula en me disant : « Je suis prête à faire ce que tu veux, … car tu es venu pour ça, … pour me voir me caresser, … mais j’aimerais que toi, tu enlèves short et caleçon, … j’aimerais voir l’effet que ça te fait de me voir me caresser, … me faire jouir, … » Là, j’étais pris, je n’avais pas pensé à cela, quelques secondes d’hésitation et je dis que j’étais d’accord, de nouveau un brutal corps à corps et Véro tira son fauteuil de derrière son bureau, alors que je m’asseyais en face d’elle. « Je suis folle de faire ça, … mais je veux te faire plaisir, … et j’ai envie de la faire, … regardes c’est pour toi, … pour toi seul que je fais ça, … » et elle enleva son boléro, un large décolleté, permettant d’admirer, non de deviner sa jolie poitrine à travers le corsage au tissu arachnéen.

Elle défit les trois boutons de son corsage qu’elle ouvrit dégageant ses seins. Elle s’était légèrement laissé glisser dans son fauteuil, pendant qu’elle se caressait les seins, les prenant à pleine main, les caressant les soupesant, … pour glisser vers les tétons, qui après plusieurs de ces traitements, commencèrent à durcir et à pointer sérieusement, enfin mouillant ses doigts, elle les prit, les pinçant, les roulant entre pouce et index. Alors qu’elle fermait les yeux elle lâcha ses seins pour descendre doucement sur son ventre, le caressant de la pointe des doigts, pour enfin le caresser à pleine main, là, les soupirs de plaisirs commencèrent légèrement à se faire entendre. Enfin sa main droite arriva sur la ceinture de la jupe portefeuille, qui fut défaite rapidement et la jupe s’ouvrit largement sur les jambes de Véro, gainées de bas fins, retenus pas un joli porte-jarretelles rose. Ses mains continuèrent leur chemin vers ses cuisses où elles entreprirent de caresser l’intérieur en remontant vers son minou, avec commentaires : « J’aime me caresser là, … tu le sais, … j’ai la peau douce, … chaude, … et je vais écarter les cuisses, … tu vois ma chatte, … oui, … regardes bien, … je commence à mouiller, … » plusieurs allées retour , elle se laissa encore glisser légèrement de son fauteuil, écartant encore et sa main droite se posa sur son minou : « Regardes, … je caresses mes grosses lèvres, … tu les aimes, … j’aime toujours quand tu les lèches, … oui, … c’est bon, … je sens que je vais me prendre, … je vais pénétrer ma chatte, … elle est bien ouverte, … bien chaude, … oui et bien mouillée, … oui, … c’est le moment, … je vais me masturber en pensant que c’est toi, qui le fait, … oui, … je te sens me prendre, … encore, … enfonces toi en moi, … c’est bon, … accélères, … je sens que je vais jouir, … encore, … OOOOHHHH, … OUIIIIII, … » et elle fut secoué par un joli spasme qui lui fit écarter les cuisses et les resserrer brutalement, mais sa main était toujours entre ses cuisses et visiblement elle continuait à s’activer, car de nouveau il y eut : « OOOOHHHH, …OUIIIIII, … » et de nouveau un spasme, moins brutal, qui la laissa affalée dans son fauteuil, les yeux fermés, un sourire heureux sur les lèvres et le souffle court, alors que je bandais dur, même très dur, voyant cette bite, elle réagit et vint vers moi : « C’est pour moi, ça, … » et sans hésiter elle me prit en bouche et commença à me pomper, mais c’est elle que je voulais, sa chatte, son cul, … Je l’arrêtais en lui disant : « Non, … pas ça, c’est toi que je veux, … je veux te baiser, … » et elle me répliqua : « Oui, … amour, … je suis à toi, … prends moi, … baises moi, … » et se mettant en levrette, : « Oui, … prends moi, … montes moi, … je suis ta femelle, … oui, … » Il ne me fallut peu de temps pour me mettre entre ses jambes et me guider et entre dans sa chatte bien ouverte, bien mouillée et entreprendre une série de va et vient qui lui redonnèrent la parole : « j’aime que tu me prennes comme ça, … oui, … j’aime que tu me montes dessus, … oui, … continues, … donnes moi du plaisir, … ne t’arrêtes pas, … je sens que je vais jouir,… continues, … OOOOHHHH,… OUIIIIII,… » et elle fut secouée par un joli spasme alors que n’y tenant plus je jouissais et me vidais dans sa chatte, et m’affalais sur elle.
Nous reprîmes notre souffle et nos esprits. Je l’aidais à se relever et elle se précipita dans mes bras : « Serres moi fort, … très fort, … as-tu aimé, … »
Moi : « Tu as été admirable, … excitante au possible, … j’ai adoré, … tu as aimé, …il faudra recommencer, … »
Véro : « Oui, … non, … OH, … oui j’ai aimé te faire plaisir, … j’ai aimé le faire, … mais, je ne sais plus, … c’est pas croyable, … je ne reconnais plus, … c’est un moment de folie, … »
Moi : « Tu es très belle, … je t’adore, … »
Véro : « Sauves toi, … je suis devenue folle, … il faut que je me ressaisisse, … je me demande si tu ne me rends pas complètement dingue, … »
On s’habilla rapidement en silence et je filais.


Samedi 12 Décembre - soirée
Le samedi comme tous les samedis, le chantier tournait. Pour la soirée, avec Al on invita le remplaçant, de façon à ne pas le laisser seul le week-end. Puis on l’emmena au club et on le présenta à la bande. On fit de nombreuses danses avec AL, on se retrouvait après cette semaine où occupé chacun de notre côté on ne s’était guère vue. Je dansais également avec Véro, malheureusement on dû rester sage, enfin presque, car une série de tangos arrivant un regard à Véro et celle-ci se leva pour me rejoindre sur la piste. Collée à moi, ou s’éloigna du groupe pour être un peu plus tranquille et ma jambe trouva sa place entre les cuisses de Véro.
Véro : « Tu ne t’occupes pas de moi, … »
Moi : « J‘ai mon remplaçant, … Tu sais, je pense qu’il faudra recommencer ta jolie séance, … »
Véro : « Non, … je ne pourrais pas, … je me suis laissé aller, … pour te faire plaisir, … mais, … Oh, … puis, … arrêtes, … » Au deuxième et troisième tango, je faisais en sorte de la maintenir quelques secondes supplémentaires sur ma cuisse, … ce qui lui permettait de se chauffer, pour moi c’était peine perdue, mais je voulais lui faire accepter une nouvelle séance de caresses, car après cet exercice, elle était particulièrement excitée, « amoureuse, gourmande » et sensuelle.
Avant la fin du troisième tango, je commençais à avoir une sérieuse trique et nous faisions du surplace, collée contre moi, son bassin, enfin son ventre se frottait sur ma bite et je sentais qu’elle s’excitait, je serais bien sorti pour m’expliquer avec sa chatte, mais laisser AL seule avec mon remplaçant, elle m’aurait arraché les yeux. La série terminée, nous regagnâmes nos places. La série suivante valses, puis slows, là beaucoup de monde sur la piste. Les couples extrêmement serrés, la lumière très fable, j’avais attrapé Véro par les hanches et bien collé l’un à l’autre nous entamions une partie de frottage sérieux. Au début, ses bras étaient autour de mon cou, puis ils descendirent autour de ma ceinture, enfin, tout d’un coup une main disparue, pour se retrouver entre nous et se poser sur ma bite qui avait pris un sérieux volume et Véro me dit : « Laisses moi faire, … et elle commença à me caresser… enfin me branler doucement, … le résultat ne se fit pas attendre, et je tâchais sérieusement mon caleçon. Alors Véro me dit : « Je sais ce que tu aimes, … » La série se terminait, je rentrais tout penaud à notre table.

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